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  • Kristo Numpuby is a guitarist, bassist and singer born in Paris but raised in Eséka, South Cameroon.

    Author and composer, Kristo sings mainly in Bassa and French on Assiko music the traditional rhythm of the southern Cameroon forests, using a guitar, knives, forks and spoons, and empty bottles for the percussion. He is also inspired by other Cameroonian music styles (Makossa, Bikutsi) and Jazz.

    Biography
    If the term " cosmopolitan " did not already exist, it would have to be invented for Kristo Numpuby. This musician, born in Paris and raised in a tropical forest, personifies the Africa of yesterday, today and tomorrow. At the age of 8, he began composing songs for children and took an interest in percussion. " In the village, there were always evenings with musicians, either baptism, marriages or wakes, "he comments. "They became opportunities for me to admire the percussionists, playing bare-chested with their big muscles."

    The education that his musician-grandmother gave him made Kristo a boy with a great interest in anything musical. "My grandmother Nguéba ran a bar in Eséka," he says. "We listened to lots of different music all day long... classical, jazz, rhythm and blues, James Brown, Afro-Cuban, rumba from Zaire, highlife, makossa and biguine. You could say that I was totally immersed in a very colourful music world."

    Kristo finally received his first guitar at age 12. He began playing all the hits he heard on the radio. Two years later, he was a guitarist in one of the four groups in his school. At age 18, he formed a trio that played only his own compositions. The three musicians constantly played each other's instruments during their concerts. He was the lead singer in a group that mostly played casino music, which no young people usually played. Kristo says, "my buddies didn't understand how a guy like me who spent his vacations in Paris was still interested in village music. Even though I liked disco and all the music in fashion, that music still fascinated me. Why? I can't tell you. But I found real pleasure in playing Jean Bikoko, Médjo Me Nsom and Dikoumé Bernard, and to finger the guitar strings like them in an unusual way. The assiko musicians and dancers have special knowledge and a particular technique. I liked their style of music because it was different. But I was just as interested in classical technique as in that of the forest guitarists."

    In 1990, Kristo Numpuby got back into the music he had somewhat left behind. "After finishing high school in Douala, I went to the University of Yaoundé, before heading off to Paris in 1986. I wanted to be a TV director. There were such beautiful posters in the metro and TV ads that left you breathless "Generation Mitterrand, Citroen cars, Dim stockings... I was completely subjugated. There were advertising schools everywhere. I got a technical qualification and then for four years, I was an advert wonder kid. This is how I wound up in the studio to oversee the recording of adverts that I was responsible for. We had a problem finding musicians. I reacted quickly, and Morning Limbé, a blues piece composed in 1982, became the soundtrack."

    Eventually, music replaced advertising. Kristo began hanging out in recording and rehearsal studios and became a studio bass player. "In December 94, I was touring in Ghana with an African star for the Panafest. At the hotel, I ran into Stevie Wonder. I had about 20 of his records at home. When we finished talking, he asked me if I had some work of mine he could listen to. I had nothing to show him what I had been doing musically. That's when I understood that I had to record my compositions."

    In his first two albums "Assiko City" (Night & Day, 1997) and "An Sol Mè" (Night & Day, 2001), Kristo varies in style from sharp traditional African rhythms to the folk sounds of African-Americans, played on acoustic instruments. On stage, accompanied by a percussionist/bottle player and two other musicians, he is one of those artists who excites and surprises his audience at every concert.

    Kristo also recorded with drummer Denis Tchangou (Mory Kanté, Papa Wemba ...) an album entirely devoted to the chanson legend Georges Brassens. The result is "Brassens in Africa" (Lon Yes/Mosaic Music), an album that illustrates the beauty of cultural crossovers but also a warm tribute to the French poet on African rhythms.


    Kristo Numpuby est un guitariste, bassiste et chanteur né à Paris mais élevé à Eséka, dans le sud du Cameroun.

    Auteur et compositeur, Kristo chante principalement en bassa et en français sur la musique assiko le rythme traditionnel des forêts du sud du Cameroun, à l'aide d'une guitare, de couteaux, de fourchettes et de cuillères, et de bouteilles vides pour les percussions. Il s'inspire également d'autres styles de musique camerounaise (Makossa, Bikutsi) et Jazz.

    Biographie
    Si le terme «cosmopolite» n'existait pas déjà, il faudrait l'inventer pour Kristo Numpuby. Ce musicien, né à Paris et élevé dans une forêt tropicale, incarne l'Afrique d'hier, d'aujourd'hui et de demain. À l'âge de 8 ans, il commence à composer des chansons pour enfants et s'intéresse aux percussions. "Dans le village, il y avait toujours des soirées avec des musiciens, que ce soit des baptêmes, des mariages ou des réveils", commente-t-il. "Ils sont devenus des opportunités pour moi d'admirer les percussionnistes, jouant torse nu avec leurs gros muscles."

    L'éducation que sa musicienne-grand-mère lui a donnée a fait de Kristo un garçon avec un grand intérêt pour tout ce qui est musical. "Ma grand-mère Nguéba tenait un bar à Eséka", dit-il. "Nous avons écouté beaucoup de musiques différentes tout au long de la journée ... classique, jazz, rythmique et blues, James Brown, afro-cubain, rumba du Zaïre, highlife, makossa et biguine. On peut dire que j'étais totalement immergé dans un très monde de la musique colorée. "

    Kristo a finalement reçu sa première guitare à l'âge de 12 ans. Il a commencé à jouer tous les succès qu'il a entendus à la radio. Deux ans plus tard, il était guitariste dans l'un des quatre groupes de son école. À 18 ans, il forme un trio qui ne joue que ses propres compositions. Les trois musiciens ont constamment joué les instruments de l'autre pendant leurs concerts. Il était le chanteur principal d'un groupe qui jouait principalement de la musique de casino, à laquelle aucun jeune ne jouait habituellement. Kristo dit, "mes copains ne comprenaient pas comment un gars comme moi qui passait ses vacances à Paris était toujours intéressé par la musique de village. Même si j'aimais la disco et toute la musique à la mode, cette musique me fascinait toujours. Pourquoi? Je peux mais je trouve un vrai plaisir à jouer Jean Bikoko, Médjo Me Nsom et Dikoumé Bernard, et à toucher les cordes de guitare comme eux de façon inhabituelle. Les musiciens et danseurs assiko ont des connaissances particulières et une technique particulière. leur style de musique parce que c'était différent. Mais je m'intéressais autant à la technique classique qu'à celle des guitaristes forestiers. "

    En 1990, Kristo Numpuby est revenu dans la musique qu'il avait quelque peu laissée derrière. "Après avoir terminé mes études secondaires à Douala, je suis allé à l'Université de Yaoundé, avant de partir pour Paris en 1986. Je voulais être réalisateur de télévision. Il y avait de si belles affiches dans le métro et des publicités télévisées qui vous laissaient sans voix" Génération Mitterrand , Citroën, bas Dim ... j'étais complètement subjugué. Il y avait des écoles de publicité partout. J'ai obtenu une qualification technique et puis pendant quatre ans, j'ai été un enfant de merveille de publicité. C'est ainsi que je me suis retrouvé en studio pour superviser l'enregistrement des publicités dont j'étais responsable. Nous avons eu du mal à trouver des musiciens. J'ai réagi rapidement et Morning Limbé, un morceau de blues composé en 1982, est devenu la bande originale. "

    Finalement, la musique a remplacé la publicité. Kristo a commencé à traîner dans les studios d'enregistrement et de répétition et est devenu bassiste de studio. "En décembre 94, j'étais en tournée au Ghana avec une star africaine pour le Panafest. A l'hôtel, j'ai rencontré Stevie Wonder. J'avais environ 20 de ses records à la maison. Quand nous avons fini de parler, il m'a demandé si j'en avais mon travail, il pouvait l'écouter. Je n'avais rien pour lui montrer ce que je faisais musicalement. C'est à ce moment que j'ai compris que je devais enregistrer mes compositions. "

    Dans ses deux premiers albums "Assiko City" (Night & Day, 1997) et "An Sol Mè" (Night & Day, 2001), Kristo varie dans le style des rythmes africains traditionnels aigus aux sons folkloriques des Afro-Américains, joués sur instruments acoustiques. Sur scène, accompagné d'un percussionniste / flûtiste et de deux autres musiciens, il fait partie de ces artistes qui excitent et surprennent son public à chaque concert.

    Kristo a également enregistré avec le batteur Denis Tchangou (Mory Kanté, Papa Wemba ...) un album entièrement consacré à la légende de la chanson Georges Brassens. Le résultat est "Brassens in Africa" ​​(Lon Yes / Mosaic Music), un album qui illustre la beauté des croisements culturels mais aussi un chaleureux hommage au poète français sur les rythmes africains.

Ganja Burns
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